Encore appelée console de mixage, l’outil est un indispensable des DJ et ingénieurs de son. Pour un usage sur scène comme en studio, le choix de cet instrument implique la maîtrise d’un certain nombre de données. Pour qui veut savoir comment choisir sa table de mixage, les lignes qui suivent seront précieuses.
Ils concernent aussi bien le confort d’usage que la solidité et la disposition des boutons.
Une table de mixage est un appareil fréquemment sollicité. De fait, il est nécessaire qu’il soit solide et compact. C’est pour cela qu’il faut être regardant sur la bonne fixation des boutons des différents potentiomètres. Il suffit en effet qu’un d’entre eux se détache en pleine prestation scénique pour que la soirée frise la catastrophe.
Il est par ailleurs crucial de tester le fader. S’il crache ou s’il émet des sifflements, c’est mauvais signe. Cet élément doit impérativement rester silencieux.
Quant à la disposition des boutons de commande, elle doit être aérée. C’est-à-dire que l’espacement doit laisser suffisamment de place aux doigts et aux mains pour effectuer des mouvements libres et fluides.
Un exercice test existe d’ailleurs à ce propos. Il consiste à actionner des boutons de deux tranches adjacentes en les tournant simultanément avec ses deux mains.
Certaines personnes se sont familiarisées avec les consoles de mixage à positionnement vertical. Pour choisir sa table de mixage, il faut faire fi de ses habitudes, car les appareils sont de plus en plus performants avec de nouvelles configurations.
En outre, en vue d’une utilisation aisée, il importe de veiller à la lisibilité absolue des étiquettes et des codes couleurs. Cela évite bien des problèmes, surtout quand on est sur scène. Les affichages LED sont également concernés par cette vérification, car ils sont censés être visibles à tout instant.
Il est aussi primordial de privilégier une table de mixage pourvue d’un réglage de niveau pour casque. De plus, le test de l’égalisation des fréquences doit aider à éviter les boosts compris entre 10 et 14 dB. Autrement, ce sont les haut-parleurs qui en pâtiront.
Tout dépend principalement de l’usage qu’on compte en faire. Une table de mixage numérique donne la possibilité de traiter de nombreuses données à partir d’un ordinateur. Il est alors possible de sauvegarder des effets obtenus ainsi que les réglages qui ont permis de les créer.
Par contre, une table analogique est destinée, non pas à agir sur des données, mais sur des instruments de musique. Bien entendu, l’authenticité du travail des musiciens est préservée, notamment avec les instruments à vent et ceux à cordes. Ce type de fonctionnalité, un mixeur numérique serait incapable d’en donner.
Trois principaux formats existent :
Les voici avec un peu plus de détails.
Pour ce format, il est indispensable que le dispositif ait beaucoup d’entrées et de sorties, ainsi qu’un nombre important de connectiques. C’est une table grande et pesante, voire très lourde en fonction du fabricant.
Destinée à un usage professionnel, elle n’est pas faite pour être déplacée.
Même si cette table de mixage offre un panel impressionnant de travaux de son, elle est adaptée à un travail privé et non professionnel. Ses dimensions lui permettent de se faire une place sur le bureau et de côtoyer les écrans d’ordinateur et autres dispositifs de son.
C’est la table de mixage spéciale pour loisir. Elle est :
Pour un animateur DJ qui recherche du matériel pro c’est l’idéal. Certains professionnels de l’animation savent s’en servir pour des résultats concluants.
À présent, l’essentiel de ce qu’il faut pour savoir comment choisir sa table de mixage est connu. Il n’y a plus qu’à se faire plaisir en passant à l’action.
Articles similaires